Perdu

Je me trouvé perdu dans cette foret glaciale. Je resta une bonne huere a trouvé un sortit. Au boud d'un moment je m'efondra de fatique et de froit. Je m'evanouï.

Le soleil était couvert de nuage grisâtre et le ciel aussi, d’ailleurs. Ces nuages laissaient tomber plusieurs flocons de neiges aussi blanches que blanc. Les sapins, étaient recouvert d’une petite couche de neige pour faire un air joyeux. Les arbres feuillus avaient perdus toutes leurs feuilles, balancé par la brise si glaciale du lieu. Aucun oiseau ne traînait par ici, c’était vraiment le silence complet.

Plus loin, le grand Morbid grattait le sol de son sabot, pour essayer de trouver quelque chose à brouter. Perdu dans ce silence complet, un bruit sourd vient vite le réveiller de la lune. Il tourna la tête vers le bruit et vit la belle Laïqua effondrer sur le sol, sûrement évanouie. Morbid se secoua puissamment pour déloger la neige qui s’était logé sur son dos et sa crinière. Il galopa vers la jument baie et lui donne quelque coup de chanfrein, mais tout en douceur.

Mais rien ne fit, Laïqua était sur le sol, inerte, mais toujours en vie. Mais si elle restait là, elle mourrait d’hypothermie. L’étalon grisâtre souffla sur son corps quelque fois pour la réchauffer, puis la mis sur son dos. Il l’as posa en dessous d’un arbre et se coucha à côté d’elle pour lui procurer chaleur.

*Faite qu’elle se réveilles, s’il vous plait!*

Pensa-t-il sur le coup
Car Morbid obsession avait peur qu’elle meure…

quelque temp plus tard j'ouvrit l'oeuil et regarda autour de moi. j'était un peut sonné. Je vit morbid a mes côter. Je n'avait pas la force de le remercier. J'esaya de me relevait . J'y arriva. Je fit une lechouille a morbid en gise de remerciment.
- Merci beaucoup Morbid. Tu ma sauver la vie.

L’étalon était ailleurs dans ses pensé pendant qu’elle était encore endormie. Mais lorsque la jument se releva et se releva rapidement lui aussi. Morbid’ apprécia vraiment la léchouille de Laïqua et souris sous l’effet de celle-ci. Il se secoua pour lui répondre avec cœur :

-Mais de rien, de toute façon je n’aurais pas pu te laisser là, pour morte…-

Je sourit et lui fit un énorme calin afectueux.

Morbid colla sa tête contre la sienne.

Je le lessa faire. La temperature de l'air augmenter et fesait fondre la neige. La chaleur devenait plus agreable. Mais mon coeur ne cécé d'augmenter ma température.
je tourna autour de morbid amouresement et le frola a chaque rond. Je passis ma tête dans sa crinière.

Morbid fut surpris mais appréa tout autant. Il se mit à lui tourner autour.

Je maretta pour le lessé faire.

Il se placa derrière elle.

Je le regarda du coin de l'oeuil et déplaca ma queue

Je fit mon travail.

Je gratta le sol.

Puis, ayant finit le travail, je descendit de son dos et alla la rejoindre en avant.

(2ieme fois^^)